Nostalgia musical

Como que ya son enzima as fiestas de l'Ainsa y falta menos t'as de LASPUÑA (21 de setiembre),t'os fico as letras y un bideo de dos canzions qu'a prinzipios d'os años setenta fizon furor por as fiestas da redolada, y que fuen esitos musicals que interpretaban orquestas como "estrellas negras"

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SACHA DISTEL "MONSIEUR CANNIBALE" Paroles: Maurice Tézé. Musique: Gérard Gustin 1966© Editions musicales Prosadis

En le voyant sortir de son camion

Chasser les papillons d'Afrique

Les cannibales en le traitant d'espion

L'arrêtèrent sans façon de suite

Il essaya de leur parler Anglais

Espagnol, Portugais, Chinois

Mais en voyant leurs mâchoires

Qui s'ouvraient

Il se mit à hurler d'effroi

Oh, Monsieur Cannibale,

Je n'veux pas mourir

Monsieur Cannibale

Laissez-moi partir

Il leur montra son briquet, son stylo

Sa montre et les photos d'sa femme

Il leur chanta un grand air de Gounod

Des chansons d'Adamo, que dalle !

Il leur fit voir des journaux de Paris

Personne ne réagit, non plus

Désespéré il sortit des revues

Remplies de filles toutes nues, et dit :

Oh, Monsieur Cannibale,
Je n'veux pas mourir
Monsieur Cannibale
Laissez-moi partir

Quand le grand chef aperçut ces revues

Qu'il vit toutes ces filles nues, il rit !

Mais dans sa tête une idée saugrenue

Une idée farfelue surgit

Dans une case où était son harem

Il entraîna lui-même le gars

Qui en voyant les femmes se ruer sur lui

Avec tant d'appétit, hurla :

Oh, Monsieur Cannibale,
Je n'veux pas mourir
Monsieur Cannibale
Laissez-moi partir

Pendant huit jours, il resta enfermé

Et dut se partager, en vain

Et comme déjà il n'était pas bien gros

Il perdit vingt kilos, au moins

Quand arriva l'instant où le grand chef

Lui fit comprendre par geste, Allez !

Prends ton camion et retourne chez toi

Le pauvre homme s'écria : Jamais !

Monsieur Cannibale,

je n'veux plus partir

Monsieur Cannibale,

j'aime mieux mourir

SACHA DISTEL- INCENDIO EN RÍO (LA MANGUERA DÓNDE ESTÁ)(1967)

En plena noche una sirena
a fuego llama por doquier
y Río entero se despierta,
al ver quemar todo el café.
Pues los bomberos que no llegan
y todo el barrió puede arder.
Es la verdad,hay confusión en el cuartel,
y todos buscan sin cesar.
La manguera ¿dónde está?
¿dónde está la escalera?.
La manguera ¿dónde está?
No perdamos el control.
Mas el incendio no se apaga,
el cielo, negro, de humo está.
Y todo el mundo se pregunta:
y los bomberos ¿dónde están?.
El tiempo pasa y no llegan,
el barrio entero puede arder.
Es la verdad,hay confusión en el cuartel,
y todos buscan sin cesar.
La manguera ¿dónde está?
¿dónde está la escalera?.
La manguera ¿dónde está?
No perdamos el control.
Por la mañana se adivina,
que todo el barrio se quemó.
Y sólo quedan las ruinas
del gran incendio que se armó.
Pero de pronto un bombero
llegó corriendo hasta ahí.
Y les gritó: “un poco de tranquilidad,
porque lo manda el capitán”.
La manguera apareció
y también la escalera.
La manguera apareció
pero no se vió el camión.
Lalala lala laaalalalala lala lala…